samedi, octobre 26, 2019

APPEL NATIONAL REVOLUTION ANTI JAUNE


https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/10/22/un-an-apres-retour-sur-les-six-jours-qui-ont-vu-emerger-le-mouvement-des-gilets-jaunes-sur-facebook_6016485_4355770.html

Un an après, retour sur les dix jours qui ont vu émerger le mouvement des « gilets jaunes » sur Facebook

Entre le 15 et le 24 octobre 2018, des coups de colère viraux ont convergé sur les réseaux jusqu’à poser les bases d’un mouvement social inédit.
Par   Publié le 22 octobre 2019 à 17h08 - Mis à jour le 23 octobre 2019 à 10h06
C’est une drôle de machine qui s’est brutalement mise en route au beau milieu de l’automne 2018. Samedi 23 octobre, précisément, Thibaut S. crée sur un coup de tête un groupe Facebook pour organiser une manifestation contre la hausse des prix à la pompe en Cornouaille. Ce Finistérien pense alors avant tout rassembler des passionnés d’automobile comme lui. « On en avait marre après les 80 km/h », se souvient-il.
Très vite, Thibaut s’aperçoit que ses troupes dépassent largement le petit monde des routiers et des motards, et qu’il n’y a pas qu’en Bretagne que la colère gronde. Des internautes d’un peu partout en France le sollicitent pour lui demander des conseils. Aucune coordination nationale n’existe alors, et chacun réfléchit dans son coin à des actions pour dénoncer la hausse des taxes sur les carburants.
« Au départ, j’avais mis une date pour aller devant la préfecture début novembre », raconte le Breton au Monde. C’est là qu’intervient un certain Eric Drouet. Ce chauffeur routier de Seine-et-Marne ajoute Thibaut à une conversation Facebook d’une « trentaine » de Français en colère qui veulent protester. « C’est là qu’on a choisi la date du 17 novembre, glisse-t-il. C’est la genèse absolue des “gilets jaunes”. »
Cette mobilisation naissante aurait pu en rester à ces quelques coups de gueule isolés contre le carburant trop cher. Mais celles et ceux qui deviendront par la suite les visages de la contestation ont réussi, en très peu de temps, à poser les bases d’un mouvement social d’une nature inédite. Retour sur ces dix jours décisifs dans l’émergence des « gilets jaunes », du 15 au 24 octobre 2018.

De premières initiatives en ordre dispersé

Le 15 octobre est sans doute une des dates-clés du mouvement. C’est en effet ce jour-là qu’Eric Drouet crée « La France en colère ». A l’époque, on est loin du groupe Facebook devenu central dans l’organisation des « gilets jaunes », qui compte plus de 340 000 membres. Le chauffeur routier le baptise d’ailleurs initialement : « Stop au carburant au prix de l’or !!! », avant de le renommer « Les automobilistes en colère » quatre jours plus tard, puis d’opter pour « La France en colère » le 22 octobre.
Ces ajustements sémantiques traduisent assez bien comment les « gilets jaunes » se sont fixé un cap en quelques jours. La hausse des prix à la pompe a beau avoir été le détonateur du mouvement, Eric Drouet et d’autres décident assez vite de viser plus large, en réunissant les mécontents, sans se restreindre à un seul mot d’ordre – une option stratégique qui s’avérera payante.
A peu près au même moment, une internaute quinquagénaire fait une analyse similaire dans une vidéo d’un peu plus de quatre minutes sur Facebook. Elle s’appelle Jacline Mouraud, et son coup de gueule dépasse en quelques jours 6 millions de vues sur le réseau social. Une gouaille qui fera d’elle l’une des premières figures de la contestation, mais l’exposera aussi aux violentes critiques d’une frange de ses membres.
Les signaux s’accumulent au fil des jours, avec toujours plus de groupes Facebook ou de coups de gueule contre les prix à la pompe. C’est à ce moment-là qu’Eric Drouet tente de coordonner le mouvement, et propose la date du 17 novembre pour une grande journée d’action.

Frank Buhler, le messager

A ce stade, cependant, le succès de l’initiative est loin d’être acquis. La fronde qui est en train de germer sur les réseaux sociaux est très fragile. C’est là qu’intervient Frank Buhler. Ce community manager a comme atout de bien connaître le fonctionnement des réseaux sociaux, mais aussi de s’être déjà frotté à la politique : ancien membre du Front national, il a rejoint Debout la France (DLF), le parti de Nicolas Dupont-Aignan.
« Il y a eu une conjonction des hasards »
Le 23 octobre, à 20 h 06, il publie une vidéo sur sa page Facebook dans laquelle il reprend l’idée d’Eric Drouet en appelant « à bloquer le pays » le 17 novembre. Surtout, il propose un plan d’action qui deviendra par la suite le mode opératoire des « gilets jaunes » :
« Je vous propose à tous de contacter vos amis localement, de vous regrouper, de vous téléphoner, d’aller bloquer les routes d’accès qui mènent à votre ville, les rocades, les péages d’autoroute s’il le faut, tous les axes principaux. D’aller dans la rue, de sortir et de bloquer tout le pays (…) le 17 novembre. Voilà ce qu’il faut faire. »
Sa vidéo sera partagée près de 200 000 fois et visionnée plus de 4 millions de fois sur le réseau social dans les semaines qui ont suivi, contribuant grandement à répandre le mot d’ordre du 17 novembre. « Il y a eu une conjonction des hasards : la bonne chose au bon moment. A ce moment-là, la cocotte était prête à exploser », nous raconte le militant avec le recul.
Si Frank Buhler ne cache pas son appartenance à la « patriosphère », sa vidéo du 23 octobre ne met pas en avant ses idées de droite ou d’extrême droite.
Si Frank Buhler ne cache pas son appartenance à la « patriosphère », sa vidéo du 23 octobre ne met pas en avant ses idées de droite ou d’extrême droite.
A ce moment précis, le groupe Facebook d’Eric Drouet ne compte que quelques milliers de membres. La pétition de Priscillia Ludosky qui réclame une baisse des taxes sur l’essence et le diesel, lancée en mai 2018, n’a réuni que quelques milliers de signatures.
Le succès de la vidéo de Frank Buhler semble bien avoir contribué à la mobilisation. A commencer par les créations de groupes Facebook, qui ont connu un fort pic dans les jours suivants. Sur les 226 communautés de « gilets jaunes » que nous avons étudiées, seulement 17 existaient auparavant. Une semaine plus tard, on en comptait 114 :

Les groupes de "gilets jaunes" ont émergé à la fin d'octobre 2018

Nombre cumulé des groupes de "gilets jaunes" créés au jour le jour, au sein de notre échantillon de 226 communautés de "gilets jaunes" sur Facebook.
Use regions/landmarks to skip ahead to chart

Long description.

No description available.

Structure.

Chart with 41 data points.
The chart has 1 X axis displaying Time.
The chart has 1 Y axis displaying 0.

Chart graphic.

15 Octobre29 Octobre12 Novembre26 Novembre
50150250

Source : Les Décodeurs
Malgré son rôle incontestable dans l’émergence de la fronde, Frank Buhler y a assez vite été contesté, du fait de son appartenance politique jugée trop marquée pour un mouvement qui se revendique « apolitique ». Ainsi, Eric Drouet assurait dès la fin d’octobre que le membre de Debout la France ne faisait « pas du tout partie du mouvement ». L’intéressé s’est assez vite mis en retrait, pour « éviter que ça nuise » à la mobilisation, mais estime avoir joué le jeu en laissant sa carte de militant DLF « au tiroir ».
Lire aussi  Derrière la percée des « gilets jaunes », des réseaux pas si « spontanés » et « apolitiques »

Le gilet jaune, le symbole qui manquait

Mais le mouvement des « gilets jaunes » n’aurait de toute façon même pas pu porter ce nom sans l’intervention d’un autre homme : Ghislain Coutard. Dès le 24 octobre, au lendemain de la vidéo de Frank Buhler, ce trentenaire s’est filmé dans sa voiture pour appeler à participer au 17 novembre, mais aussi plus largement à soutenir le mouvement :
« On a tous un gilet jaune dans la bagnole, foutez-le en évidence sur le tableau de bord, toute la semaine, là, jusqu’au 17. Un petit code couleur pour montrer que vous êtes d’accord avec nous, avec le mouvement et qui est chaud, qui est pas chaud. Ça va motiver, ça va dire… putain, on va croiser des gilets jaunes partout, sur les tableaux de bord, c’est un signe. »
C’est Ghislain Coutard, chauffeur-routier, qui a popularisé l’idée d’utiliser le gilet jaune comme emblème.
C’est Ghislain Coutard, chauffeur-routier, qui a popularisé l’idée d’utiliser le gilet jaune comme emblème. Facebook
Cette vidéo aussi a été extrêmement virale, avec plus de 5 millions de vues sur le réseau social. Et l’idée du gilet jaune a fait rapidement recette. En à peine dix jours, les Français en colère se sont trouvé un nom, un mode d’action et une date pour se rassembler. Dès le 24 octobre, les éléments constitutifs des « gilets jaunes » étaient là.
Temps 

dimanche, octobre 20, 2019

Elisabeth Badinter : "Je ne pardonne pas à la gauche d'avoir abandonné la laïcité"


https://www.marianne.net/politique/elisabeth-badinter-je-ne-pardonne-pas-la-gauche-davoir-abandonne-la-laicite


Elisabeth Badinter : "Je ne pardonne pas à la gauche d'avoir abandonné la laïcité"

Le mercredi 6 janvier 2016 sur France Inter, Elisabeth Badinter a appelé les défenseurs de la laïcité à ne plus se taire par crainte d'être taxés d'islamophobie.Dans notre hors-série de février 2015, la philosophe jugeait déjà "désolant" le pouvoir accordé par la gauche aux curés, imams et rabbins.
Marianne : En 1989, lors de la première affaire médiatisée de voile à l’école, à Creil, vous avez, avec quelques autres, lancé dans le Nouvel Observateur un appel à défendre la laïcité. Où en sommes-nous un quart de siècle plus tard ?
Elisabeth Badinter : Il s’est produit un renversement à gauche sur la laïcité, produit d’une gêne considérable face à la montée de l’islamisme. Tétanisée à l’idée d’être taxée de stigmatisation d’une population d’origine immigrée, la gauche s’est empêchée de traiter cette situation nouvelle, mais pas si différente de l’affrontement avec l’Eglise un siècle plus tôt. C’est la phrase stupéfiante de Lionel Jospin à l’Assemblée : « Nous essaierons de les convaincre d’ôter ce signe religieux, mais, si elles ne veulent pas, nous les accepterons. » La gauche, à rebours de sa longue tradition, admettait que la religion entre à l’école publique, et son Premier ministre se défaussait sur l’avis du Conseil d’Etat qui l’organisa.
Etait-ce un oubli du sens de la laïcité ou une décision d’y mettre un terme ?
Je ne crois pas à l’oubli. Si cela avait été une provocation de catholiques intégristes avec de grosses croix, cela ne se serait pas passé ainsi. Le complexe de culpabilité face à des populations symbolisant les anciens colonisés a été le plus fort dans cette génération de socialistes qui ont ainsi favorisé, dans leurs propres rangs, la montée du communautarisme, cette idée que tous les rituels culturels ou religieux, y compris les plus intégristes, sont respectables et doivent être respectés.
Ce fut un choc, à l’époque, de se découvrir soudain minoritaire à gauche
A cette époque, je me suis sévèrement fait taper sur les doigts pour délit d’« ethnocentrisme » par Mme Mitterrand et Jack Lang parce que je combattais l’acceptation de la polygamie et de l’excision ! Nous n’en sommes heureusement plus là, mais il me semble aussi désolant que la gauche accorde un tel pouvoir aux curés, aux imams et aux rabbins : c’est religieux, c’est sacré ! Ce fut un choc, à l’époque, de se découvrir soudain minoritaire à gauche.
Pourquoi cette minorité, dont vous faisiez partie à gauche, est-elle restée fidèle à sa tradition laïque ?
Il y a plusieurs raisons en ce qui me concerne. Je suis d’abord, philosophiquement, universaliste. Je crois aux bienfaits des valeurs universelles : on a toujours intérêt à mettre en avant nos ressemblances plutôt que nos différences. Je ne crois pas à la différence heureuse.
Ensuite, je suis juive : l’histoire familiale m’a appris que l’on avait tout intérêt à ne former qu’une seule humanité. Je regrette d’ailleurs que, en réaction à l’abdication de la laïcité face à l’intégrisme musulman, la partie communautariste des juifs se soit renforcée, développant le port de la kippa en public, et que certains catholiques réagissent de même, comme on vient de le voir à propos des crèches dans les mairies.
Enfin, je suis féministe et je me méfie extraordinairement du pouvoir des religieux et de leur vision de la femme. Que l’on impose aux femmes de cacher leurs cheveux parce que des hommes les tiennent responsables d’un désir sexuel qu’ils ne savent pas maîtriser me fait bondir. Il m’est insupportable que la gauche l’accepte, notamment au sein de l’école publique, censée avoir pour objectif de développer la raison et de lutter contre les préjugés !
Le pire de cette gauche communautariste est d’avoir accepté le concept d’“islamophobie
On est passé du cogito ergo sum – « Je pense donc je suis » - au credo – « Je crois, donc j’existe »… C’est une trahison bouleversante pour ma génération, qui avait une autre conception de l’école comme outil d’émancipation, en particulier des filles.
Le pire de cette gauche communautariste est d’avoir accepté le concept d’« islamophobie » – qui a foutu en l’air le principe de laïcité, car s’élever contre des signes religieux devenait un crime – et l’invention de ce terme au sens propre insensé de « racisme anti-musulman ». D’où l’intimidation, qui a fonctionné sur de plus en plus de gens à gauche, se taisant par peur d’être dénoncés parce que la laïcité, devenue synonyme d’islamophobie, a été abandonnée à Marine Le Pen. Cela, je ne le pardonne pas à la gauche.
Ce revirement, empreint de gêne et de malaise, n’est pas franchement revendiqué : durant ces vingt-cinq années, la plupart des élus de gauche ont voté ou ne se sont pas opposés – se réfugiant dans l’abstention – aux lois de laïcité proposées par la droite…
Parce que, globalement, la gauche n’est pas au clair, qu’il n’y a plus de position majoritaire en son sein sur le sujet et qu’elle fait tout pour ne pas en débattre franchement. D’abord par manque de courage. Sur l’interdiction de la burqa, par exemple, il y avait à l’Assemblé nationale des pour et des contre qui ne s’assumaient pas : c’est pour cela qu’à sept exceptions près, ils se sont tous abstenus… Ce manque de courage prend de plus en plus la forme du déni : pour avoir la paix, on pense qu’il suffit de nier les problèmes. Comme la position comique du nouvel Observatoire de la laïcité, cet édredon qui a remplacé le Haut Conseil à l’intégration : il n’y a pas de problèmes, c’est vous qui les inventez, c’est pas si grave…
Mais il ne faut pas sous-estimer dans cette hésitation le rôle du calcul politique, électoral : le Parti socialiste a quand même gagné les élections avec les voix des musulmans des banlieues, donc, après les effets de la théorie du genre, ce n’est pas le moment de se les mettre à dos !
Avec les mères voilées en sortie scolaire, on recommence comme en 1989
C’est pourquoi on laisse la laïcité, déjà bien attaquée par Sarkozy, se vider de son contenu originel : « laïcité ouverte », « laïcité positive » : la laïcité aujourd’hui, c’est « chacun fait ce qu’il veut » et, au nom de la religion, « on a tous les droits ». Le comble est de voir des défenseurs de la laïcité plaidant pour que les religions soient plus discrètes se faire traiter d’« ayatollahs de la laïcité » ou de « laïcards », le terme de Maurras… Voilà pourquoi pour les mères voilées en sortie scolaire, on recommence comme en 1989 : la gène, la confusion et la défausse sur les juges au nom du « cas par cas » !
Vous n’êtes guère optimiste sur l’avenir…
Je suis moins optimiste à court terme qu’à moyen terme. Je pense que l’on va redécouvrir que l’on ne peut pas se passer du concept de laïcité, nécessité absolue pour la paix sociale entre personnes d’origines différentes. Les religions peuvent devenir des facteurs de guerre épouvantables, on en a d’ailleurs la preuve tous les jours dans le monde. Et il y a une telle exaspération qui monte à l’égard des exigences des uns et des autres, de la constitution de séparatismes culturels revendiqués – par exemple pour éviter de côtoyer « l’impureté » – que l’observation rigoureuse des règles laïques va redevenir un impératif pour le bien commun, pour vivre en paix les uns avec les autres.

REVOLUTION ANTI JAUNE RAJ * Episode 1 - LES POMPIERS *


mardi, octobre 15, 2019

LETTRE OUVERTE A TWITTER


Lettre ouverte à Twitter

Cher Réseaux Twitter depuis le temps que je vous fréquente, je m’aperçois que vos algorithmes ne sont pas à la hauteur de vos espérances et de nos espérances, vous êtes en dessous de tout de plus ils sont obsolètes et ne servent à rien, car avec cette obsolescence de vos algorithmes, vous êtes devenu les complices des harceleurs qui règnent en maître sur le réseau. La preuve ils harcèlent, provoquent, excitent, poussent dans leur dernier retranchement les personnes, qui à la fin sont exaspéré et cela se retourne contre ces braves gens, vous êtes dans l’incapacité de détecter ces pervers, qui ont pour seule mission d’harceler le plus de monde possible de faire fermer le plus de compte et de se réjouir sur twitter d’être en capacité d’avoir fait supprimer ou de faire bloquer les dites personnes. Le comble de la perversité est : qu’ils se pavanent et se targuent avec arrogance d’être les meilleurs (et cela sur le réseau) pour faire fermer les comptes. Voilà ce qui en découle lorsque votre incompétence est égale à votre manque de professionnalisme, ils suffiraient de lire leur post et de voir que je suis dans le vrai, mais par manque d’investissement par laxisme et par votre laissé faire, vous faites prospérer le harcèlement psychologique, car vous n’avez pas investi dans les vrais outils pour détecter les vrais harceleurs (aucun investissement normal l’appât du gain est plus fort) je peux faire votre travail et certaines de ces personnes font la loi sur Twitter.

Ils le font de manière intelligente, se sont eux qui signalent et qui font supprimer les comptes des personnes qu’ils harcèlent avec délectation. En incitant les gens à leur répondre. Vous êtes aveugle, la preuve de votre incompétence à ne pas détecter les véritables harceleurs. Pourquoi ne pas se priver de harceler puisqu'ils ont la part belle, ils se sentent forts. Ils contournent facilement et sans vergogne votre règlement vieillot, dépassé, poussiéreux, suranné et obsolète. Il n’est pas à la hauteur des enjeux contre le harcèlement. Sans représailles de votre part, pourquoi se priver de harceler puisque en toute impunité, ils en font leurs métiers, leur passe-temps et leur sport favori, allons-y, la voie est libre pour harceler de plus belle. Tout cela par votre manque de professionnalisme, par votre manque d’ambition intellectuelle, par manque d’investissement pour plus de profit, votre lâcheté est égal à votre incompétence. Il serait temps de renouveler vos chercheurs de rafraîchir tout ce beau monde, et dans la foulé il serait aussi temps, de penser à un renouvellement par l’intelligence et l’éthique l’ensemble de votre entreprise, votre personnel n'est pas à la hauteur et vous les dirigent non plus, il serait temps de redynamiser et de renouveler tout ça, car vous avez embauché des chercheurs de seconde zone sans intelligences sans perspicacité, sans éthique, sans morale et sans sens critique car pour pondre des algorithmes aussi nul aussi dépassé et aussi obsolète est inadmissible vous êtes la risée de la toile, c’est le comble d’un réseau social .


PS: dans mon billet, je parle de certaines personnes, qui terrorisent et menacent les gens sur Twitter, beaucoup de personnes sont touchés, cela se compte par dizaines, et même plus. Ces gros crétins malades du bulbe, se croient le centre du monde, mais en fin de compte, ils sont des bennés et des imbéciles, mais ces imbéciles-là, emploi la manière forte, c'est du fascisme à l’état pur. ILS HARCÈLENT, ILS MENACENT. Voilà en pratique ce qu'ils font, donc aujourd'hui, fait, plus grave, ils m'ont menacé sur Twitter. Par ces menaces, ils veulent m'interdire de parler pour que je n'exprime pas mon opinion, sur leur comportement, c'est inacceptable. Ils veulent me faire TAIRE. Première étape, ils m'ont harcelée, puis sont passés aux menaces. Voilà leur fonctionnement. Étant donné que Twitter ne fait pas son travail convenablement et ne prenne pas les mesures adéquates je suis dans l'obligation d'afficher leur nom, car cela devient très grave et Twitter est impassible, à croire qu'ils sont couverts par le réseau.

Merci de m’avoir lu
et cela continu sans que Twitter réagisse 



voici le courrier que j'ai reçu ce matin donc je lance la procédure