lundi, février 24, 2020

PHILOLIVE #11 �� LA HAINE CONNECTIVE [EN DIRECT]


https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite





Caroline Fourest
26 min
















pavlenski


https://www.challenges.fr/politique/pavlenski-le-nouvel-heros-de-la-presse-helas_700189?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1582476020



Pavlenski, le nouvel héros de la presse, hélas!
EDITO - La presse française, à commencer par Le Monde et Le Parisien a publié des portraits dépourvus de toute distance de Piotr Pavlenski, le personnage trouble qui a diffusé la vidéo sexuelle de Benjamin Griveaux. Une dérive inquiétante qui dessert l'image des médias. 
Pouvait-on seulement le prévoir? Depuis quelques jours, un certain nombre de journaux, et pas des moindres, Le Monde et Le Parisien notamment, se sont découverts une nouvelle figure de proue. Les deux quotidiens publient en effet des portraits quasi énamourés, dépourvus de toute distance, de Piotr Pavlenski le personnage au moins trouble qui a diffusé la vidéo sexuelle de Benjamin Griveaux- par ailleurs piètre candidat à la mairie de Paris, mais là n'est pas la problème.

Il serait aisé, face à une telle (et sinistre) réalité, d'aligner les adjectifs grandiloquents- stupéfiant, effarant, effrayant, scandaleux... Mais il est essentiel de comprendre plutôt que de s'émouvoir : que se passe-t-il au juste dans la société française et dans ses médias pour que 
Le Monde, notre quotidien " de référence ", et Le Parisien, notre journal populaire du matin, mettent en scène Pavlenski en " artiste ", en " performeur " selon le qualificatif en vigueur parmi les " branchés ". Et cela sans la moindre distance. Une " performance ", la dénonciation de Griveaux? C'est ce qu'on croit comprendre à la lecture de ces longs articles. " L'artiste explique au Monde ", souligne notre confrère qui avait pourtant publié une première enquête d'une incontestable sévérité. "L'artiste russe qui a divulgué en toute illégalité une vidéo intime de Benjamin Griveaux (...) se livre et se raconte. Sans concessions": voilà le sous-titre quasi admiratif du Parisien. " L'artiste ", et non pas le délateur; " l'artiste " et non pas le voyou; " l'artiste ", et non pas le voleur puisqu'il revendique haut et fort avoir dérobé la vidéo à sa compagne.
"Lanceur d'alerte" : un mensonge

Certes la délation est un " art ". Un " art " crade et tout d'exécution. À ce titre, Pavlenski est un " artiste " confirmé: la cible- humaine cette fois - a été atteinte, pulvérisée, détruite. Une vidéo, comme une balle, en pleine tête. Tué net, Griveaux. A-t-on encore la possibilité sans passer pour un rabat-joie d'émettre l'hypothèse selon laquelle " cafard 2.0 " eut été plus approprié qu'  " artiste " ou " performeur "? Mais non car, dès lors qu'est désormais évoqué le personnage Pavlenski, le ton, l'écriture, les commentaires varient entre rigolade, ironie et admiration (un peu). Le dégoût par exemple n'est pas de mise. Convenons-en: nous ne nous attendions pas à pareil engouement en faveur de cet " artiste " dont l'humanisme et le respect de l'autre ne sont pas las premières vertus.

Par ailleurs est-il seulement concevable que des journalistes confirmés, des confrères de grande réputation et à juste titre, se prêtent eux aussi à la dialectique meurtrière de la confusion: un délateur n'a rien de commun, rien, avec un " lanceur d'alerte ". Pavlenski, " lanceur d'alerte "... Une insulte pour tous ceux qui ont pris tant de risques, jusqu'à la privation de liberté, pour " sortir ", pour débusquer, des informations parfois aussi essentielles que dissimulées. Par définition, les journalistes travaillent avec les mots. Les lecteurs sont donc au moins en droit d'exiger que nous utilisions le bon vocabulaire. Pavlenski " lanceur d'alerte ", c'est un mensonge, une duperie, un contresens.
Le sauveur de Macron
Il y a plus désastreux encore: Pavlenski procéderait à des " performances politiques " (Le Monde), à de "l'art politique" (Le Parisien). Si, si... Ces médias, si on poussait le ridicule jusqu'au bout, pourraient comparer son travail à " Guernica ", le chef d'œuvre de Picasso. Comme si  l'on pouvait percevoir la moindre geste, le plus infime démarche artistique dans un acte de mouchardage heureusement condamné par la loi, car depuis les Lumière on sait que le droit au jardin privé, à la part de mystère de l'humain, est une condition de la liberté.

Certains vont plus loin dans le mal-raisonnement: Pavlenski aurait " dynamité le cours de l'élection à la mairie de Paris ". Cette analyse est erronée: le mouchard  a précipité la chute de Benjamin Griveaux et provoqué un scandale, mais le processus démocratique suit son cours sans la moindre anicroche. On pourrait même ajouter qu'en favorisant l'entrée en lice d'Agnès Buzyn, il a peut être sauvé Emmanuel Macron du naufrage parisien. Alors que son avocat- agitateur se rengorgeait qu'ils aient ensemble coulé le président de la République! Voilà des "  peintres du dimanche " en politique, des amateurs tant ils sont maladroits.

Alors pourquoi cette volonté de politiser l'action du Russe? Pourquoi ce refus obstiné de le définir comme un voyou aux méthodes répugnantes ? Pourquoi tant d'indulgence? Pourquoi tant de laissez-faire? Pourquoi affecter de prendre au sérieux les plus invraisemblables fariboles qu'il raconte, par exemple au sujet de sa compagne pour mieux inventer de toutes pièces un couple "à la Bonnie and Clyde "? La réalité: avec la complicité de " l'avocat " Juan Branco, Pavlenski a commis un sale méfait contre un homme et sa famille, il raté son véritable objectif, Emmanuel Macron et, en allié objectif, il a renforcé l'extrême-droite car le type de désordres qu'il affectionne tant ne fait que renforcer les plus anti-démocratiques partisans de l'ordre. Bref, Piotr Pavlenski n'est pas un héros, mais un zéro.


dimanche, février 23, 2020


https://dai.ly/x7qoipr

François Pupponi - "La gauche-niqab fait un calcul bassement électoral"

François Pupponi, député divers gauche du Val d'Oise, ancien maire de Sarcelles et auteur du livre "Les émirats de la République", était l’invité du “petit déjeuner politique” de Patrick Roger le 17 janvier sur Sud Radio, à retrouver du lundi au vendredi à 7h40.
François Pupponi, interviewé par Patrick Roger sur Sud Radio le 17 janvier à 7h40.

François Pupponi : "je rencontre de plus en plus de musulmans et de juifs qui sont prêts à voter Marine Le Pen"

Dans son livre Les émirats de la République-Comment les islamistes sortent de la banlieue qui sort la semaine prochaine, François Pupponi dénonce une vraie menace islamiste pour la France. "Marine Le Pen [qui a annoncé jeudi 16 janvier sa candidature aux élections présidentielles de 2022, ndlr] peut surfer sur cette menace, confie François Pupponi au micro de Patrick Roger. Selon lui "le sujet de la place de l'islam en France est un sujet majeur qu'on devrait être capable de gérer normalement, sereinement. Comme personne ne l'aborde vraiment, Marine Le Pen s'approche des portes du pouvoir".

François Pupponi raconte dans son livre que bien des immigrés, des musulmans, sont prêts à voter pour Marine Le Pen, pour retrouver la paix dans certains quartiers. "Des gens de la communauté juive me disaient hier qu'ils étaient capables de voter pour Marine Le Pen, ajoute François Pupponi. Des barrières sont tombées et des gens se disent 'après tout, il n'y a plus qu'elle qui pourrait nous défendre'. Le risque d'une victoire de Marine Le Pen en 2022 voire après est un risque réel".

"Je parle de 'gauche-niqab' : victimisation de la gauche envers les immigrés et calcul bassement électoral"

François Pupponi est un élu de gauche, maire de Sarcelles pendant plus de 20 ans, ardent défenseur de la République. Il dénonce dans son livre une prise de pouvoir dans certaines banlieues. "L'exemple le plus frappant, c'est celui de Garges-lès-Gonesses, explique François Pupponi, où Samy Debah, fondateur du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), dont certains disent qu'il serait proche des frères musulmans, est aux portes de la mairie. Bien sûr il ne se présente pas comme proche de ces réseaux, il se dit démocrate et républicain, mais on sait qui il est, on sait d'où il vient. Aux législatives, quand il s'est présenté contre moi, soutenu au deuxième tour par la France Insoumise, il a fait 56% des voix dans la ville Garges-lès-Gonesses, qui compte 42.000 habitants. Il est aujourd'hui candidat à la mairie, tous ceux qui sont un peu au courant de ce qui se passe considèrent qu'il a de grandes chances de gagner".
La France Insoumise jouerait-elle un double jeu ? "Le risque sur Garges-lès-Gonesses, c'est que les forces de gauche, au deuxième tour, soutiennent Samy Debah et fasse en sorte qu'il soit élu", redoute François Pupponi, qui parle de la "gauche-niqab, d'islamo-gauchistes". "Il y a ce sentiment que dans ces quartiers, il faut s'occuper des populations, même si elles sont très proches d'un islam radical, explique François Pupponi, que ce sont des enfants d'immigrés, des gens qui ont été exploités, colonisés. Une espèce de victimisation, de culpabilisation de cette gauche-là. Faisant fi du fait que l'islam politique est en train d'infiltrer ces quartiers. Il y a aussi un calcul bassement électoral : si on veut être élu dans ces quartiers, il faut s'associer avec certaines personnes".

"Les islamistes sont présents partout et intègrent beaucoup la jeunesse"

Dans son livre, François Pupponi fait bien la distinction entre les musulmans et les islamistes. "Il y a une centaine d'islamistes à Sarcelles, mais ça commence à prendre de l'importance, dénonce-t-il. Leur stratégie est propre à l'islam politique partout dans le monde : occuper tout le champ : religieux, cultuel, éducatif, social. Ils sont présents partout et intègrent beaucoup la jeunesse. La grande stratégie est aussi de ramener des délinquants dans le droit chemin. Ce sont les imams qui les prennent en charge, et parfois plutôt mieux que les éducateurs. Ils maintiennent la paix mais c'est un islam radical".

"Il faut combattre l'islamisme comme on a combattu le nazisme et le stalinisme

Pour François Pupponi, "ils essaieront d'imposer dans nos territoires un certain nombre de règles contraires à celles de la République. C'est ce qui se passe partout dans le monde et qui arrive déjà dans certains de nos quartiers", prévient-il. "Ce qui me traumatise le plus, confie-t-il, c'est l'incapacité de notre République à agir"."Il faut combattre l'islamisme comme on a combattu le nazisme et le stalinisme", a-t-il d'ailleurs écrit. "C'est un régime totalitaire, confirme-t-il, il n'y a aucune raison qu'on ne s'oppose pas au totalitarisme, on doit le faire aussi pour l'islamisme, parce que c'est la même manière de procéder".
François Pupponi explique également que les islamistes sont en train de prendre au piège les musulmans intégrés. "C'est toute la théorie de la victimisation : ce pays est raciste, ce pays nous a colonisés, a fait venir vos parents pour les exploiter. Comme on ne nous considère pas, le moment est venu d'être ce que l'on est. Ils refusent tout ce qui est notion d'intégration".

"Macron, la France, n'est pas capable de parler de la place de l'islam en France"

François Pupponi dénonce le laxisme de l'État, dans certaines décisions par rapport à des mosquées ou certains imams considérés comme dangereux. "On voit bien comment l'administration d'État est gênée par ces sujets, confirme-t-il. Ils font tout pour éviter l'affrontement. À force de renoncer, le système se met en place".
Pour lui, "Macron, la France, n'est pas capable de parler de la place de l'islam en France. Il a promis ce discours mais il ne veut pas. Aujourd'hui Macron parle de communautarisme, mais c'est un autre sujet, ce sont des gens qui se regroupent dans leur communauté, religieuse ou pas, et qui disent que leur communauté est plus importante que la République. Ce n'est pas le problème de l'islam".
Concernant les signes religieux, "nous sommes dans une république laïque, rappelle François Pupponi. Si les femmes musulmanes veulent porter le voile, elles doivent pouvoir le faire, c'est un choix. La laïcité, ce n'est pas le refus du religieux. La question c'est lorsque le voile est imposé, et la seconde, c'est jusqu'où on accepte le port du voile. Pour lui, il faut l'accepter sur l'espace public. On ne peut pas être dans une République laïque tolérante et refuser le port du voile".



vendredi, février 21, 2020



Gérald Bronner : "Les individus à l‘origine de l’affaire ont essayé de transfigurer un voyeurisme en vertu"
24 minutes
Gérald Bronner, professeur de sociologie, membre de l'académie des technologies et de l'académie nationale de médecine, est l'invité du grand entretien de Nicolas Demorand à 8h20. Il évoque notamment l’affaire Griveaux, mais aussi plus largement notre rapport aux réseaux sociaux et certaines dérives médiatiques...
Gérald Bronner

Une affaire qui n’a pas du tout surpris le sociologue. "Toutes les conditions technologiques sont là pour qu’on se dise 'je ne sais pas ce qui va se passer, ni comment ça va se passer, mais il est certain que ça va se passer.' Ce genre de phénomènes va continuer à se produire, malgré l’indignation que nous ressentons. Il faut s’attendre à toutes sortes de révélations. Car ce qui peut se produire plus tard dans notre vie, nous n’en apprécions pas toujours le danger."


Pour lui, nous sommes entrés collectivement dans une époque de "porosité entre vie publique et vie privée""On y contribue tous : tout le monde a tendance, sur les réseaux sociaux, pour attirer l’attention des autres, à exhiber des éléments de sa vie privée (leurs voyages, le contenu de leur assiette, une rupture sentimentale…). C’est une façon de gagner du capital d’attention : quoiqu’on en dise, nous aimons que les regards se  tournent de temps en temps vers nous." Une exposition qui, quand elle est importante, nous expose aussi à des gens "potentiellement déséquilibrés""La captation du regard des autres fait aussi de vous une cible."
Le risque démarre, selon lui, quand on mélange voyeurisme et droit de savoir : "La transparence, la démocratie en a besoin. 'J’ai le droit de savoir' est une revendication tout à fait légitime en démocratie ! Mais il faut faire attention à ce que le voyeurisme ne se mue pas en droit de savoir. Les individus à l‘origine de cette affaire ont essayé de transfigurer un voyeurisme, ou une volonté d’attirer l‘attention, en vertu. On est en pleine tartufferie !"


Internet, un révélateur de notre nature collective

Pour Gérald Bronner, cette affaire est aussi caractéristique de notre comportement sur Internet, qui en dit beaucoup sur nous. "Les données massives qu’on a, sur les consultations de sites et ce qui nous intéresse, dévoilent une nature profonde de l’humanité. Par exemple, ça ne vous surprendra pas que les premières vidéos, partout dans le monde, qui sont regardées, sont des vidéos pornographiques, tout simplement. Oui, le sexe ça nous intéresse ! Et en même temps, on fait beaucoup d’efforts pour masquer cette anthropologie, cette réalité… Et _on accuse la technologie et notre environnement social de dévoyer notre nature. Or pour ceux qui observent la société, ces outils sont de formidables mécanismes de dévoilement._"


Des caractéristiques sur lesquelles les réseaux sociaux mais aussi les médias peuvent dangereusement jouer : "Il y a des émotions dont on sait qu’elles sont plus virales que les autres. Les réseaux sociaux ne sont pas les seuls responsables : les journalistes marchent main dans la main avec ce type de compulsion, et ça c’est très inquiétant." Le professeur de sociologie ajoute même : "L’indignation est un très bon produit cognitif sur le marché dérégulé de l’information. De même que la sexualité, la peur, l’effet de dévoilement... Un média russe avait annoncé que, pendant une journée, il n’annoncerait que des bonnes nouvelles : ce jour-là, l’audience a été divisée par 10. _La mauvaise nouvelle, c’est que les bonnes nouvelles ne nous intéressent pas._"
Il estime également qu’on retrouve dans ces réseaux sociaux "qui se sont un peu ensauvagés" une tendance finalement classique de nos sociétés : "Il faut observer attentivement ce qu’on pourrait appeler des “forces de minorité” : ceux qui déclenchent la polémique en premier vont nous obliger à déplacer nos normes collectives. Quand, dans un groupe de 1000 personnes, il y en a 10 qui parlent plus fort que les autres, ils arrivent à imposer leur norme. C’est ce qu’on pourrait craindre."

jeudi, février 20, 2020

TRES BON ARTICLE DE CHALIE HEBDO


Le 8e péché capital est arrivé

RISS · 

Mais qui sont donc ces gens qui ont la prétention de définir ce qui est bien ou mal ?

vendredi, février 07, 2020

RÉPONSE A UN CRÉTIN QUI SE CROIS INTELLIGENT




Mon pauvre quelle suffisante et quel mépris envers ceux qui ne pensent pas comme vous, en les considérant comme des moins-que-rien et comme des imbéciles. N’ayez crainte heureusement pour moi que je ne pense pas comme vous, je suis très satisfaite d’être à des années-lumière de votre posture et de votre ligne politique, je m’en réjouis, c’est un bonheur, car je me sentirais sali de penser comme vous et d’avoir la même ligne politique que la vôtre, par vos idées et votre pensée. Nous sommes 2 lignes parallèles qui se rencontreront jamais, que du bonheur, vous jaunasse pisseux, anti-flic, anti-démocratie, avec une pensée sectaire. Moi une personne de gauche, mais lucide envers les années passées, qui nous ont mené à la catastrophe en ne supportant plus tous ces connards. Vous qui croyiez avoir le monopole de la morale, du bienpensant, de la vérité absolue, en croyant détenir l'intelligence, en méprisant ceux qui ne pense pas comme vous, en imposant votre pensée unique et se déterminent anti-Macron primaire et par principe, sans réflexion sans idées, sans recul, votre haine est à la hauteur de votre crétinisme. Et votre comportement fascisant en imposant vos idées et votre mode vivre, ne vous font pas ressortir grandi de vos réponses sur Twitter. Vous avez tendance à les imposer sans tenir compte du discours que l’on vous expose. Donc merci de ne pas penser comme moi, de ne pas avoir les mêmes idées politiques que moi, et de ne pas voter comme moi que du bonheur, ce matin, c’est un matin merveilleux, car nous sommes tous les deux à des années-lumière et merci, car je considère cela comme une chance et surtout le primordial est de ne jamais nous rencontrer intellectuellement, c’est une joie immense. 

http://rencontresdecannes.fr/introduction-par-roland-cayrol-des-rdcannes-2019/

Blog de Pierre-Henri TAVOILLOT: Une police enfin non violente … n'aurait pas besoi...

Blog de Pierre-Henri TAVOILLOT: Une police enfin non violente … n'aurait pas besoi...: Le débat sur les « violences policières » est assez exaspérant. Le propre de la police, c’est d’user de la force avec tous ceu...

https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-07-fevrier-2020


mercredi, février 05, 2020

https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/l-interview-savoir-comprendre-bruno-bonnell-0502-1220282.html#

LETTRE OUVERTE AU DÉPUTÉ BRUNO BONNELL



Monsieur le Député Bruno Bonnell

Bonjour,

Aujourd’hui, je vous ai entendu et vu répondre à la Séance publique du mardi 4 février 2020 au sujet de la Proposition de loi visant à instaurer un congé de deuil pour le décès d’un enfant mineur.

J’ai été outré de la façon dont se sont comportés les députés dans l’hémicycle, en votre encontre, au sujet de la question que vous posiez à la ministre Murielle Pénicaud.

Les députés de l’opposition se sont comportée comme des chiens sans aucun respect et sans aucune retenue, avec un sujet si douloureux, ils auraient étés dans une posture d’empathie qu’ils en seraient ressortis grandis, c’est une honte, comment comprendre la posture de ces députés qui sont censé représenter leurs électeurs ? Comment peuvent-ils se comporter dans une telle circonstance ! On aurait dit, des gamins d’une cour d’école. Ou les chamailleries de maternelle.

Ils ont démontré face au citoyen que nous sommes, qu’ils n’ont aucune dignité, aucun honneur, aucune fierté et aucune morale, ils ne pensent à une seule chose faire du buzz, être dans l’opposition crasse, par principe, en se comportant comme des goujats, mais allez demander de l’intelligence a des crétins cela s’avère impossible et impensable, vu la bassesse de leur comportement.

Comment peuvent-ils représenter dignement le peuple, tant leur comportement est inqualifiable, ces politiciens ne représentent en aucun cas l’idée que nous nous faisons nous citoyen de la politique et la façon qu’un député puisse se comporter dans l’hémicycle. Ces imbéciles, ces crétins et ces incultes salissent la fonction de député, et la politique en elle-même.

Je trouve que 2 minutes pour exposer votre ressentis et votre question est un temps trop court, vu les circonstances et vu ce sujet si douloureux, j’ai été peiné par la brutale interruption de Richard Ferrand à votre encontre, y a-t-il pas dans les règlements de l’assemblé, une exception à la règle pour des sujets aussi sensible, un prolongement de la parole, ou bien l’accord entre député de céder ou de donner son temps de parole pour que vous puissiez terminer votre discours. Et si ce n’est pas le cas, est ce possible de voter une loi pour introduire cela. 

Merci de m’avoir lu 

Cordialement,

FRANZINI