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lundi, juin 10, 2019
Dominique Wolton. « Aujourd’hui, on tend le micro à n’importe qui ! »
Publié le 15 décembre 2018 à 06h15
PROPOS RECUEILLIS PAR PHILIPPE MINARD (ALP)
47VOIR LES COMMENTAIRES
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Dominique Wolton. « Aujourd’hui, on tend le micro à n’importe qui ! »
Directeur de recherches au CNRS et spécialiste des médias, Dominique Wolton déplore l’abandon d’une information réfléchie et maîtrisée au profit des réseaux sociaux et des chaînes d’information continue.
Une majorité de Français estime que les chaînes d’info continue ont contribué à l’embrasement du pays. Partagez-vous ce ressenti ?
Ce qui est frappant, c’est que les médias comme la classe dirigeante n’ont rien dit de critique sur le mouvement. Ils nous ont assommés, durant des années, d’obligations, de modernité et d’arrogance et quand le peuple se révolte, tout le monde se tait… Les journalistes des chaînes d’information continue - il n’y a pas qu’eux - tendent leur micro sans beaucoup de sens critique, et les politiques attendent le dialogue. Ils n’ont pas écouté durant des dizaines d’années et maintenant, tout le monde passe son temps à écouter ! Les chaînes d’info continue et les réseaux sociaux dramatisent tout, sans contexte et sans mise en perspective. Or, on sait que plus on est proche de l’événement, plus on est tyrannisé par cet événement. C’est contradictoire avec le sens de l’information. Ce n’est donc plus de l’information mais du voyeurisme et de l’angoisse. Donc oui, cela accentue les problèmes. Les chaînes d’information et les réseaux sociaux sont devenus le couple maudit. L’enfer est pavé de bonnes intentions.
Les journalistes ne peuvent pas ignorer les réseaux sociaux ?
Depuis dix ans, on entend des journalistes vanter les réseaux sociaux en disant que c’est l’expression de la vérité. C’est faux ! L’expression n’est pas synonyme de la vérité. Ce n’est pas parce que les gens racontent leur vie sur internet que c’est la vérité. Et si tout le monde s’exprime, qui écoute ? À terme, en suivant ce raisonnement, on n’aura plus de journalistes, plus de professeurs et plus d’hommes politiques. Tous les intermédiaires deviennent suspects. Il suffira d’écouter les gens pour connaître la vérité. La démission des journalistes vis-à-vis des réseaux sociaux est accentuée par cette crise. Ils se transforment en passeur de plats. On ne peut plus vivre dans un espace public qui est régi par la tyrannie des sondages, des chaînes d’information et de l’expression des citoyens sur les réseaux sociaux.
Les chaînes d’info ont pourtant battu tous les records d’audience…
Les responsables de chaînes, qui se gargarisent de leur excellente audience grâce aux gilets jaunes, ont oublié une chose élémentaire : ce n’est pas parce qu’on est voyeur - et nous le sommes tous plus ou moins - qu’on adhère à ce que l’on voit. Si on veut sauver les médias, il faut qu’ils cessent cette course à l’audience et qu’ils arrêtent de valider le fait que toute bêtise dite sur les réseaux est géniale !
Peut-on parler de démagogie ?
La démagogie, c’est de croire que la société en directe est possible. Cette saturation de l’explication en direct donne l’impression que l’on ne supporte pas de vivre deux jours sans parler. Aujourd’hui, on tend le micro à n’importe qui, qui dit n’importe quoi dans la rue. Oui à l’expression à condition de ne pas la confondre avec l’information. Les journalistes se plaignent d’être menacés dans les manifs, mais cela vient du fait qu’ils ne mettent plus de distance entre les manifestants et eux. Il n’y a donc plus de recul et plus de respect. Et la colère ne justifie pas que l’on dise n’importe quoi d’une personne élue. Les médias sont capables de tout pour augmenter leur audience. Et pour meubler l’antenne des heures durant, chaque chaîne a sa pléthore de soi-disant spécialistes.
Mais vos collègues chercheurs ne sont pas les derniers à y participer…
Ils se « pipolisent ! ». J’estime que l’on doit pouvoir refuser de faire des émissions où l’on se retrouve à quatre ou cinq sur un plateau avec chacun trois minutes de parole. On ne peut rien dire ! Quand on est chercheur, il faut bien sûr aller débattre de temps en temps, mais pas tout le temps. Sur les chaînes d’info, les journalistes pensent devenir des intellectuels, et les intellectuels de journalistes. Or il ne s’agit pas seulement de s’exprimer et d’être vu par une caméra pour échanger des idées. Même des intellectuels chercheurs sont gagnés par la sensation qu’il est important d’être vu à la télé. Oui, à condition d’avoir autre chose à dire qu’un commentaire que le journaliste peut très bien faire. Je revendique personnellement le droit de ne pas savoir, de ne pas tout comprendre dans l’instant et donc de ne pas avoir d’explication immédiate à proposer, avec une hyperprésence médiatique.
Y a-t-il une distorsion entre médias et réalité ?
L’événement n’est pas l’information. Le journaliste doit prendre du temps pour choisir et réfléchir au sujet qu’il va traiter. C’est ce travail entre l’événement et la production de l’information qui fait la grandeur du métier. Pendant des siècles, on a voulu à juste titre réduire le temps entre l’événement et l’information, pour éviter le contrôle des pouvoirs politiques religieux ou militaires. Mais à l’extrême, comme aujourd’hui, il n’y a plus aucune distance, et c’est l’événement qui fait l’information. Et il ne faut pas perdre de vue que certains acteurs ont bien compris comment faire venir les médias sur un événement peu représentatif, comme par exemple l’attaque des boucheries par les vegans. Autre exemple grave : les médias ne couvrent pas l’Europe, au prétexte que cela n’intéresse pas les gens. Ce à quoi il faut répondre : l’information, ce n’est pas la demande mais l’offre, et il n’y a pas de demande parce qu’il n’y a pas d’offre… L’absence d’information régulière, abondante, contradictoire sur l’Europe est grave, parce que c’est la plus grande utopie politique, pacifique et démocratique de l’histoire de l’humanité. Ce n’est pas seulement une question d’opinion ! Il y a une absence de réflexions des journalistes à l’heure de l’explosion de l’information qui est grave. S’ils ne comprennent pas ça, ils seront remplacés un jour par des « témoins » et des « journalistes citoyens ».
Journaliste, réseaux sociaux, qui influence qui ?
Les réseaux sociaux n’influencent pas l’opinion. Ils influencent ceux qui les suivent. Même s’il y en a deux millions, il ne faut jamais oublier que nous sommes plus de 60 millions ! La presse écrite est en difficulté, mais je suis persuadé qu’elle va repartir. Plus il y aura de vitesse, plus il y aura de saturation, plus il y aura une mondialisation d’images angoissantes, plus on aura besoin de lenteur. Nous aurons forcément un point de non-retour, par rapport à cette folie de la vitesse et du direct, un balancier, qui sera favorable à la presse écrite et au papier. La fascination pour les techniques est excessive et on a confondu performance technique et démocratie. Lorsque j’étais administrateur de France Télévision, je répétais sans cesse que les journaux du service public devraient donner au moins chaque jour trois informations positives. Il faut de l’amour, de la générosité et du militantisme pour donner de l’espoir aux gens. Nous avons plus que jamais besoin de cela.
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Psychanalyste, chroniqueur au Point, auteur de « Big Mother », « Miroirs des princes » ou encore « Marilyn, dernières séances », Michel Schneider, analyste décapant de la politique, est le premier à avoir dénoncé, dans le JDD, la toute-puissance des gilets jaunes dont les défilés du samedi sont devenus un rituel.
« Ce qui dicte ce qu’on doit faire, c’est l’intérêt général, pas la somme des intérêts particuliers ».
« Les chaînes d’info (…) ont jeté de l’huile sur le feu ».
« La différence entre 1968 et ce qui s’est passé durant l’hiver 2018-2019, c’est le développement de la société de consommation ».
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mardi, mars 05, 2019
NOUVELLE RÉFLEXION SUR LE #GJ
https://anniefranzini.blogspot.com/2019/02/reponse-aceux-quil-minsulte-sur-twitter.html
SUITE
Les gilets jaunes ce n'est pas des contres pouvoirs, ils ne sont que des extrêmes, ils n’apportent rien que de la destruction. Ce ne sont que des extrêmes, ou des fachos qui veulent détruire la démocratie. Ils s’en prennent au symbole de la république, c'est toujours comme ça que le fascisme commence. Les gilets jaunes ne veulent pas construire, ils veulent détruire. Par leurs actions violentes, leur refus des règles démocratiques quelle qu’elle soit, la non-déclaration en préfecture des manifestations, la violence envers les forces de l’ordre et les pompiers, en dit long, sur le soi-disant mouvement. Boule de pétanque, acide, pavés, boulons, jet de merde, jet de pierre, armes en tous genres pour attaquer les CRS, destruction du mobilier urbain, saccage et pillages des magasins, feux de poubelles de voitures. Bagarre entre bandes rivales. Cela en dit long sur leur comportement, leur philosophie et leur manque de revendication.
La seule revendication est de tout détruire de tout saccager, de tout vandaliser, et les soi-disant gilets jaunes’’’ pacifiste’’ qui regarde et qu’ils filment s’en fond les complices, approuvent et cautionnent leur exaction, si l’on ne dit rien, on consent. Même au commencement des #GJ à la base ÉTAIT déjà un amalgame des extrêmes, droite, gauche, black bloc, trotskiste et le reste. Et aujourd'hui, ils sont encore plus déterminés à tout détruire, ils ont pris le chemin de la radicalisation, au début, c’était encore flou, mais cela se confirme, semaine après semaine, leur violence leurs idées s'il y a en a une, confirment ces dires.
Je compare ce machin, car pas d’autres mots, à une secte, la même structure et la même ambition, la même philosophie que l'État islamique, s’approprier l’esprit des gens, les amener à penser comme eux. La pensée unique, s'il y a d’autres courants, ils sont broyés, éliminés et rejetés d’une part par leur base et de leurs dirigeants. Cela implique la destruction morale, intellectuelle et physique, des réfractaires et des opposants internes, il faut penser comme dit le chef et pas autrement. Le seul mot d’ordre est : avoir une seule pensée, une seule préoccupation, un seul mot d’ordre, une seule philosophie, penser, agir, réagir, fonctionner, tous ensemble et dans la même direction aucune tête doit dépasser. Si l’on n’est pas d’accord, lynchage, harcèlement, menace de mort et expulsion de ce mouvement fallacieux, ils ont une philosophie fascisante. Nouveau dans un mouvement autre que la violence il y a eu des morts, tous ces morts et tous ces blessés, cela ne gêne personne. Cela ne remet pas en question le mouvement.
Quelle est cette lâcheté de cette putain de société de merde, je n’ai jamais vu ça, personne, ni partie ni association ni citoyen, se sont offusqué!!, se sont rebellé, se sont interposé, c’est le scandale du siècle et personne ne dit rien. On fait l’autruche, on regarde ailleurs, on se cache la vérité. Ce mouvement de merde a engendré un monstre, en parallèle nous sommes devenu des monstres, des lâches et des moins-que-rien, ce sont quand même des assassinats. Un jour, il faudra régler les comptes autant pour les gilets jaunes, que pour la société, j’espère que les familles formeront une association et attaqueront les gilets jaunes et faire culpabiliser les citoyens par leur lâcheté et leur non-réaction. Les gilets jaunes, ne sont-ils pas responsables ? !! Comment peut-on accepter cela, ces putains de gilets jaunes s’approprient sans honte des morts des familles, sans vergogne, sans culpabilisation.
Quelle honte, c’est quoi, c'est des dommages collatéraux ! Mais que sommes-nous devenus. C’est des destructeurs de la démocratie, destructeur du vivre ensemble, destructeur du bien-être social, destructeur de l’ascenseur social, destructeur de la transmission historique, philosophie de la négation, destructeur de la filiation à un corps social. Qui ne sont pas d’accord avec eux n'est pas crédible. Leur philosophie, c’est moi je. Leur nouvelle pensée est : moins de solidarité, rejet de la différence et des différences, l’envers ou le contraire de la démocratie. Ils veulent un état répressif et un état fasciste. C’est l’expression du vide. De la haine.
Il y a une misère intellectuelle, une misère morale, une misère du savoir-vivre, une misère du sens critique, une misère de l’analyse, aucune construction visionnaire, aucune amélioration du mieux-être, du mieux-vivre. Intellectuellement, pécuniairement et philosophiquement, c’est le nivellement par le bas. Ce n’est que la jalousie, destruction du vivre ensemble, aucun recul, ardent défenseur du complot, aucun recul pour analyser, penser et décortiquer les images, les discours. Absences de rhétoriques. La société du caniveau. Ils gobent tout ce qui est écrit sur Facebook, leur référence est l’Internet 2.0. C’est un désastre culturel et intellectuel, ce sont des soi-disant révolutionnaires des 21 siècles, c'est que des fachos 2.0.
Dans toutes leurs splendeurs. Attaquant les organes de presse si par malheur, leur image est contraire à leur désir, raciste, xénophobe, antisémite ; lyncheur, voleur, dealer, menteur manipulateur. Comploteur. Leurs leaders sont vraiment exécrables, sur tous les points de vu. Avec des revendications accrocheuses, populistes, démagogues.
Il ne ressortira rien, que de la destruction et de la misère intellectuelle. Du désespoir pour ceux qui ont cru en eux, ils se font berner par ces destructeurs de démocratie. Certain de bonne foi qui représente le 1/1000, participe à ce mouvement, crois et espère que cela aboutira en leur faveur en mettant tout leur espoir dans ce mouvement. Que nenni n’ayant aucun recul, aucune base politique, ils n'ont pas la possibilité de comprendre le véritable but de ce mouvement.
Ces personnes-là se feront berner et ne comprendront pas pourquoi ils seront laissés au bas-côté du chemin par ces fascistes. Comme avait dit le directeur de TF1 Patrick Lelay mes programmes préparaient le cerveau humain aux cocas colas, voilà après tant d’années les ravages que cela a procurés, un avilissement du cerveau, qui est prêt à être manipulé, le terrain a été préparé. Voilà pourquoi il y a plus aucune conscience politique Dans le temps, le Parti communiste était le tuteur de la classe ouvrière, il encadrait les ouvriers, leur apprenait ce qu’était la politique, les entourait, les élevait pour leur donner une conscience politique, les éduquait culturellement, leur donnait et leur transmettait le savoir, armait ces gens au sens critique, à des analyses diriger certes, mais cela leur donnait la possibilité de penser et de comprendre autrement, il y avait la possibilité de faire la différence.
Depuis l’effondrement, il y a longtemps du parti, ce travail n’a plus été fait, la prise en compte et la prise en charge de la classe ouvrière a été orpheline, ils n’ont plus été accompagnés, ils ont été abandonnés. Et il a fallu que la classe ouvrière trouve par elle-même le chemin, certains ont compensé par le vide de tout bord, certains se sont perdus, d'autres ont épousé les idées des extrêmes. Voilà pourquoi ces 1/1000 ce sont raccroché à ces fouteurs de merde. Les leaders, je les soupçonne de faire semblant d’être ignares de faire des fautes de Français volontairement pour faire peuple, pour attirer certains citoyens qui se disent : ils sont comme nous donc je leur fais confiance. Ce ne sont pas les leaders 2. 0. Qui pensent et dirigent le mouvement, c'est d’autres qui manipulent le mouvement, ce sont les vrais extrémistes de tout bord. Ils ne veulent pas construire, ils veulent déstabiliser et détruire la démocratie.
Les extrêmes ne peuvent pas s’entendre et ne veulent surtout pas, ils servent leur intérêt propre et se foutent des autres citoyens comme de l’an quarante. Ce mouvement n’a rien à voir avec les luttes des classes et la révolution citoyenne. Car lorsqu'on a une véritable conscience politique, on fait tout pour s'élever, s'améliorer, pour un meilleur bien être, pour un monde meilleur, avec une philosophie bien précise pour l’amélioration de tous.
Là ces fachos, c’est tout le contraire. Dans ce bordel ambiant, les journalistes ont leur part de responsabilité dans ce foutoir, mais j’aborderai ce sujet plus tard. Mais il n'y a pas que la profession des journalistes qui doivent se remettre en question, ce sont les citoyens aussi, car je suis effaré de l’immobilisme et de la non-réaction de la population envers les violences en tous genres, la lâcheté de la société, qui ne réagit pas face aux extrêmes, c'est de l’irresponsabilité, et de surcroît ils attendent comment le vent va tourner. Je suis très perplexe et déçu de l’être humain, à se planquer, à ne pas s’impliquer et ne pas bouger, devant cette horde sauvage que sont les gilets jaunes, c’est comme si les gens étaient hypnotisés attiré et subjuguer par toutes ces facettes des violences. Je n’ai jamais vu autant de haine, de violence de fake news, d'incivisme et d'irrespect. Cette non-réaction lors de la remise en question de la démocratie. Le manque de sens critique d’analyse de la situation, aucune éducation politique. L’instruction, l'intelligence, l'analyse, ont disparu de la société française. Je suis effaré de ce que nous sommes devenus.
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