vendredi, novembre 16, 2018


Expérience désastreuse avec ces bandits de flikcr et sa nouvelle équipe dirigeante
. Il y a quelques années j'ai eu un  bug informatique et j'ai perdu  des milliers de photos qui étaient dans mon ordi, à ce moment-là  j'avais pris la décision  d'avoir un compte  sur flickr,  traumatisé par la perte de mes photos perso et  de mes captures d’écrans pour mon plaisir.  Quelque temps plus tard j’ai découvert  Piwigo.com, cela me convenais très bien d’avoir 2 comptes,   un chez Piwigo.com  et un chez flikcr (peur de tout perdre). Chez flikcr j'avais pris un compte professionnel donc payant depuis des années,  et j’avais des milliers de photos,  de capture d ‘écran et des vidéos.  Et cet année qu'elle surprise j’ai tout perdu chez flickr. Du jour au lendemain sans avertissement de leur part.
Ils m’ont supprimé le compte, sans avertissement, sans dialogue, sans prendre la peine de me contacter, de m’expliquer leur nouvelle politique, j’aurais pu comprendre leur vision et prendre la responsabilité de me réapproprié  de toutes mes photos et vidéos,  un  travail effectué pendant des années.  Les nouveaux dirigeants on agit arbitrairement,  en n’ayant aucun respect me traitant comme une merde et encore plus…….  Je trouve cela  un peu cavalier d’agir de la sorte envers ses abonnées.
Ces nouveaux dirigeants ont fait l’impasse des relations   clients fournisseurs, ce n’ai pas dans leur ADN. Donc par leur manque de professionnalisme, il se trouve que j'ai tout perdu, j’en été furax je veux bien et j'accepte que les nouveaux dirigeants  change de politique, c’est absolument normal     je comprends, et c’est normal qu’une nouvelle équipe améliore le site et leur investissement en faisant le ‘’ ménage’’. Je comprends très bien. Je me doute   que ce ne sont pas,  ni des enfants de cœur et ni des bisounours, le bisness c’est le bisness c’est logique.  Mais ce que je leur reproche c’est leur manque d’humanité, et leur manque de dialogue. Car ils ne savent pas ce que c’est un dialogue, je peux certifié qu’ il n’a jamais existé. C’était en quelque sorte  un  dialogue de sourd pendant 2 semaines, exposant leur psychorigidité exécrable. Tout ce que je leur demandais était de  pouvoir au moins reprendre et télécharger  mon travail effectué depuis des années, j’avais  quand même un compte payant. Mais pendant la passation des pouvoirs de la nouvelle  équipe  dirigeante,  dans  ce laps de temps qui a duré……,   ils ont encaissé quand même mon argent,  sans état d’âme et sans vergogne, ce sont des bandits. Ils se sont aperçus bien après,  que ne rentrais pas dans leurs cases. Tiens donc !!!  J’ai demandé le remboursement de mon abonnement professionnel, que  nénies. Pour moi ils ont tout pour plaire, menteur, voleur, profiteur, psychorigide, aucune  figure, aucun respect de leurs clients,  aucun professionnalisme, et aucune connaissance de la relation commerciale entre  client et fournisseurs.
Je peux comprendre  leur nouvelle politique, un nouveau management, et de nouvelles décisions au sujet de leur plan commercial. J’avais compris que je ne faisais plus partie de leur nouvelle vision politique de leur site  Mais ce que je ne comprendrais jamais,  c’est leur manque d’humanité,  leur manque de dialogues, leur manque de respect, leur manque de morale.  Apres cette expérience désastreuse,  j’ai eu l’impression et surtout  le sentiment, qu’ils ont traité   certains  anciens clients comme des chiens  et c’est peu dire.
Je vous conseille de faire l’impasse  du site flikcr et je vous recommande le site Piwigo.com. Ils sont humains à l’écoute de leur abonnées  et très présent si un problème surgit. La palette de leur  abonnent est très abordable et surtout ils sont très professionnel et par-dessous tout français.  


lundi, juillet 30, 2018

http://www.atlantico.fr/decryptage/double-visage-affaire-benalla-celui-qui-abondamment-complaisamment-ete-raconte-celui-qui-se-joue-en-silence-au-sommet-etat-3466460.html/page/0/3?utm_campaign=quotidienne&utm_medium=email&utm_source=newsletter

Edouard Husson

Edouard Husson est spécialiste d’histoire politique contemporaine, en particulier de l’Allemagne et de la Grande-Bretagne. Il est professeur à l’Institut Franco-Allemand d’Etudes Européennes (Université de Cergy-Pontoise). Il a été membre du cabinet de Valérie Pécresse, avant d’être vice-chancelier des universités de Paris puis directeur général d’ESCP Europe et, enfin, vice-président de l’université Paris Sciences et Lettres. Il est membre du conseil scientifique de la Fondation Charles de Gaulle. 

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Le double visage de l’affaire Benalla : celui qui a abondamment (complaisamment ?) été raconté et celui qui se joue en silence au sommet de l’Etat

Bien plus que les agissements de Monsieur Benalla, ce sont les affrontements au plus haut niveau de l'Etat qui interrogent.

Recto-verso

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Que peut on imaginer de la suite du quinquennat Macron ? Au-delà des suites sur l’opinion, quel impact sur l’équilibre des pouvoirs  et la capacité d’Emmanuel Macron à s’imposer à l’Etat et à ses blocages éventuels ? 

Le quinquennat exige d’un président qui voudrait être réélu qu’il s’adapte très rapidement à une nouvelle donne.
Ni Sarkozy ni Hollande n’y ont réussi. La dynamique initiale du quinquennat de Macron n’est pas encore arrêtée. Mais le Président a reçu ces derniers mois de nombreux signes quant à la nécessité de trouver des alliés, de s’appuyer sur d’autres forces que les siennes s’il veut pouvoir maintenir le cap. Le monde des journalistes a mal pris le projet de loi sur les fake news; une réconciliation avec le monde des médias est urgente; l’affaire Benalla sera soit un avertissement salutaire soit les trois coups d’une attaque des médias toujours plus systématique jusqu’en 2022. Autre exemple: Emmanuel Macron a été largement mené en bateau par Angela Merkel, qui n’a pas l’intention d’aller loin dans la réforme de la zone euro: et quand on regarde de près la politique allemande et européenne d’Emmanuel Macron, on s’aperçoit qu’il n’ a pas cherché d’alliés pour imposer son agenda; il est urgent de trouver des soutiens en Europe, en particulier pour faire pression sur l’Allemagne; il y va du projet de réforme de la zone euro et de l’UE. Autre exemple: l’affaire Benalla a été le prétexte rêvé pour l’opposition, qui se demandait commen entraver la réforme de la Constitution; il est urgent de se concerter avec les Assemblées, en particulier avec Gérard Larcher.  Et puis, il y a tout l’appareil d’Etat, qui peut devenir, s’il a le sentiment d’être peu considéré, le plus gros frein à la réussite d’Emmanuel Macron. L’Etat, en France,est une grande chose; c’est ce qui permet à notre société de s’en sortir tant bien que mal, malgré les erreurs des gouvernements successifs. Il faut prendre grand soin de l’Etat, des ministères, des services, des fonctionnaires. Non seulement ce serait de la bonne politique puisque ce serait s’attacher durablement une clientèle électorale longtemps courtisée et séduite par le PS; mais c’est indispensable pour la mise en oeuvre des réformes. 

Le président de la République a fait allusion aux rumeurs sur sa vie privée qui ont accompagné la sortie de l’affaire. À la différence de la manière beaucoup plus méandreuse dont elles se développent d’ordinaire, ces rumeurs se sont diffusées très soudainement et très largement. Quelqu’un aurait-il appuyé sur le bouton ? Et envoyé une sorte d’avertissement à blanc avec des rumeurs facilement démontables. Cette fois-ci. 



C’est l’aspect le plus curieux de cette dernière semaine.  Au-delà du comportement de Vincent Crase et d’Alexandre Benalla, on a entendu une petite musique de fond, alimentée ou confortée  par telle ou telle petite phrase journalistique. Et le président lui-même a jugé bon d’y faire allusion. Mais rien de tout cela n’intéresse les Français. Emmanuel Macron ne devrait pas tomber dans le piège où sont tombés avant lui ses deux prédécesseurs. Nous ne sommes pas aux Etats-Unis, la vie privée des chefs de l:’Etat n’intéresse pas les Français.
Nicolas Sarkozy a beaucoup trop étalé sa vie privée. François Hollande a été victime du fait qu’il avait affiché largement sa compagne, le temps d’une élection, et l’avait installée à l’Elysée puis qu’on lui a découvert une liaison parallèle. Nos hommes politiques ne semblent pas avoir compris qu’à partir du moment où le mariage traditionnel n’est plus le modèle dominant, il faut cesser de pratiquer les codes d’avant. Evidemment le pouvoir est lourd à porter, les chefs d’Etat ou de gouvernement ont besoin de soutien affectif; ils ont forcément une vie privée. Mais il faut que tout cela reste privé, encore plus qu’avant. La mode des « premières dames », lancée par Giscard pour imiter le modèle américain n’a plus aucun sens dans notre société hyperindividualiste et où le mariage pour la vie ne concerne plus qu’une minorité d’individus. Vous remarquerez qu’en même temps que l’affaire Benalla sortent des articles sur le budget alloué à Brigitte Macron. Emmanuel Macron est pris dans une contradiction: l’époque réclame qu’un président apparaisse désormais seul, quelle que soit sa vie privée; or lui-même a choisi de mettre en avant son couple. Donc comme pour Nicolas Sarkozy et François Hollande avant lui, l’esprit du temps va avoir tendance à vouloir écorner la belle histoire qu’on lui raconte, quitte à lancer des rumeurs de caniveau. L’une des leçons que le Président pourrait tirer de l’affaire Benalla, c’est de mettre en oeuvre, désormais, une séparation absolue entre sa vie publique et sa vie privée.  C’est quelque chose qu’Angela Merkel a compris dès son arrivée à la Chancellerie et à laquelle elle s’est tenue. Quasiment personne ne connaît le (deuxième) mari de la Chancelière, que Nicolas Sarkozy avait un jour appelé par erreur “Monsieur Merkel” et qui se nomme en fait Joachim Sauer. 

L’attitude assez bravache du président de la République (« qu’ils viennent me chercher », « tempête dans un verre d’eau ») a-t-elle pu aussi avoir comme objectif ou comme effet de détourner l’attention de l’autre affaire Benalla ?


Il y a le style, qui fait de plus en plus penser à Nicolas Sarkozy. Et puis il y a le fond. Emmanuel Macron a fort bien compris le message qui lui est envoyé. Il a traduit ce qui était signifié par l’affaire Benalla. Et il répond, dans les termes de l’affaire Benalla, à ceux qui lui demandent de changer sa relation avec les ministères régaliens et l’Etat. Vous remarquerez la similitude avec le limogeage de Pierre de Villiers il y a un an. Le Présisident entend faire comprendre qu’il est seul à décider, qu’il ne change pas de cap.
Il réaffirme sa vision de la fonction présidentielle, qui n’est pas celle d’un « président normal » mais d’un « hyperprésident ». De même que VGE a profondément inspiré la politique de ses deux successeurs, François Mitterrand et Jacques Chirac, par exemple en théorisant la cohabitation, qu’eux-mêmes ont pratiquée, le quinquennat de Nicolas Sarkozy  est la matrice des deux quinquennats suivants. Même à leur corps défendant, François Hollande et Emmanuel Macron lui empruntent énormément. Le message de Macron est en l’occurrence simple, trop simple: vous pensez pouvoir mettre en question mon autorité et mes prérogatives? Eh bien, je ne changerai rien! Ce qui est curieux, c’est qu’il y aurait eu une autre façon, mitterrandienne, de faire. Elle aurait consisté à réagir très rapidement, dès la sortie de l’affaire, et à demander à Gérard Collomb de démissionner, avant même qu’il soit convoqué par une commission parlementaire. En faisant ainsi, le Président aurait eu recours au plus vieux procédé politique du monde, le sacrifice d’un bouc émissaire, mais c’est le plus efficace: cela lui aurait permis de se réconcilier avec le Ministère de l’Intérieur. L’efficacité symbolique aurait été d’autant plus forte que Gérard Collomb est l’un de ses plus anciens soutiens politiques. Il aurait sacrifié « l’un des siens » à la raison d’Etat et renforcé son pouvoir. Au lieu de cela, on va rester dans la conforontation entre « les hommes du Président » et l’appareil d’Etat. 
Alexandre Benalla a expliqué qu’Emmanuel Macron lui avait dans un premier temps maintenu sa confiance (tout en soulignant la faute grave dont il s’était rendu coupable). Il a aussi affirmé qu’on s’en était pris à lui car son profil atypique tranchait avec celui des collaborateurs habituels des présidents. Au regard des éléments qui ont émergé sur la gestion de la sanction imposée à M. Benalla ou des éléments de langage de M. Benalla d’une part et de l’Elysée d’autre part, le lien entre Emmanuel Macron et M. Benalla paraissent ils vraiment rompus ?
L’interview au Monde et celle donnée à TF1 font partie de la logique de défi que nous décrivions à l’instant. Emmanuel Macron n’entend rien céder. Et il est bien évident que les éléments de langage utilisés par Benalla ont été soigneusement préparés, avec des professionnels de la communication. Encore une fois, la ressemblance avec Nicolas Sarkozy est frappante. Au lieu d’apaiser, Emmanuel Macron, directement ou indirectement, accepte la confrontation et même jette de l’huile sur le feu. Liasser souligner par Benalla qu’il n’est pas issu des grandes écoles, qu’il s’est fait tout seul, c’est astucieux car c’est une des armes les plus puissantes à jouer: il est bien vrai qu’il y a un immense problème d’intégration dans notre société. Alexandre Benalla apporte la preuve que le Président est prêt à casser les codes pour faire monter des jeunes issus des quartiers. Au besoin contre l’establishment. L’ennui, c’est que ce type d’argumentation vient à contretemps: elle n’est pas propre à apaiser les relations avec le Ministère de l’Intérieur. Nicolas Sarkozy, lui aussi, aimait alimenter la confrontation en pensant qu’il récupérerait la mise. Mais ce qui est vrai d’une phase de conquête du pouvoir l’est-il encore lorsque l’on exerce ce même pouvoir? A ce jeu, Sarkozy a raté son quinquennat. 

Que peut on imaginer de la suite du quinquennat Macron ? Au-delà des suites sur l’opinion, quel impact sur l’équilibre des pouvoirs  et la capacité d’Emmanuel Macron à s’imposer à l’Etat et à ses blocages éventuels ? 


Le quinquennat exige d’un président qui voudrait être réélu qu’il s’adapte très rapidement à une nouvelle donne.
Ni Sarkozy ni Hollande n’y ont réussi. La dynamique initiale du quinquennat de Macron n’est pas encore arrêtée. Mais le Président a reçu ces derniers mois de nombreux signes quant à la nécessité de trouver des alliés, de s’appuyer sur d’autres forces que les siennes s’il veut pouvoir maintenir le cap. Le monde des journalistes a mal pris le projet de loi sur les fake news; une réconciliation avec le monde des médias est urgente; l’affaire Benalla sera soit un avertissement salutaire soit les trois coups d’une attaque des médias toujours plus systématique jusqu’en 2022. Autre exemple: Emmanuel Macron a été largement mené en bateau par Angela Merkel, qui n’a pas l’intention d’aller loin dans la réforme de la zone euro: et quand on regarde de près la politique allemande et européenne d’Emmanuel Macron, on s’aperçoit qu’il n’ a pas cherché d’alliés pour imposer son agenda; il est urgent de trouver des soutiens en Europe, en particulier pour faire pression sur l’Allemagne; il y va du projet de réforme de la zone euro et de l’UE. Autre exemple: l’affaire Benalla a été le prétexte rêvé pour l’opposition, qui se demandait commen entraver la réforme de la Constitution; il est urgent de se concerter avec les Assemblées, en particulier avec Gérard Larcher.  Et puis, il y a tout l’appareil d’Etat, qui peut devenir, s’il a le sentiment d’être peu considéré, le plus gros frein à la réussite d’Emmanuel Macron. L’Etat, en France,est une grande chose; c’est ce qui permet à notre société de s’en sortir tant bien que mal, malgré les erreurs des gouvernements successifs. Il faut prendre grand soin de l’Etat, des ministères, des services, des fonctionnaires. Non seulement ce serait de la bonne politique puisque ce serait s’attacher durablement une clientèle électorale longtemps courtisée et séduite par le PS; mais c’est indispensable pour la mise en oeuvre des réformes. 

jeudi, mai 03, 2018



Écoute-moi bien, petit con de casseur privilégié
La France, la vraie, te rit au nez
par

- 3 mai 2018






Un casseur dans Paris, 1er mai 2018. SIPA. 00857106_000054
Ecoute petit con, toi qui contestes qui revendiques et qui protestes, qui brailles et qui manifestes, qui défiles dans nos villes et qui nous les casses, de plus en plus souvent et de plus en plus fort, je te connais comme si je t’avais fait. Je te connais comme si j’étais ton père parce que j’en ai l’âge mais surtout parce que moi aussi à vingt ans, j’étais anarchiste. Moi aussi, j’ai aimé la joie de l’émeute, le parfum du gaz et le goût de la bagarre. J’ai aimé ces moments volés à l’ordre urbain monotone, ces chamboule-tout jouissifs quand les bagnoles s’arrêtent et vont rouler ailleurs parce que tel est notre bon plaisir, quand on se moque que le petit bonhomme du feu devienne vert ou rouge pour traverser, parce qu’on traverse tout et partout, quand le petit bonhomme ordinaire qui d’habitude attend son tour n’attend plus, parce que le petit bonhomme c’est nous, par centaines et par milliers, et le feu aussi, et que la rue est à nous.
Rebelle à manger du foin
Moi aussi j’ai eu des plaisirs incendiaires, pour rire, pour voir, pour vivre ces instants précieux comme des extases, comme des orgasmes, quand la liberté est plus qu’une idée, quand elle est une sensation, et parce qu’un soir, une idiote dans mon genre s’est offerte en me glissant sur l’oreiller : « J’aime bien les rebelles ». Moi aussi tu vois, ne te déplaise cet insupportable ton paternel, j’ai été comme toi. Et puis je suis devenu un autre ou bien moi-même et si je ne suis plus dupe de certaines attitudes insurrectionnelles et de certains discours révolutionnaires, je le dois à d’autres. Sans eux, qui sait ce que je serais devenu ? Qui sait sans quelques voix honnêtes et amies, et sans la bienveillance de ce que j’appelais alors et que tu appelles encore l’état policier, je ne serais pas resté rebelle à manger du foin ? Comme Coupat, de son prénom Julien. Au risque de me fâcher, on ne m’a pas lâché, on ne m’a pas laissé seul et à la merci des escroqueries et des démagogies, on ne m’a pas abandonné, seul et hypnotisé, au fond d’une impasse idéologique, caressé par Gérard Miller. C’est pourquoi à mon tour, je me sens tenu à un devoir, celui d’être adulte, et investi d’une mission, celle de te mettre en garde, petit con.
Saint Malik te protège
Si tu peux nuire, brûler, détruire et casser en toute impunité ou presque, dans un cadre policier et judiciaire qui te protège plus qu’il ne te dissuade, si tu continues d’agresser des flics, sans que jamais ils ne répliquent  vraiment et létalement  sauf accident, si tu ressors des gardes à vue avec un titre de gloire et une bonne histoire à raconter sur l’oreiller à une idiote dans ton genre, c’est parce que tu es protégé, privilégié. Tu as un ange gardien qui arrête les balles avant qu’elles ne soient tirées, un saint patron qui empêche toute répression, c’est le patron des casseurs : Il s’appelle Malik Oussékine. Depuis que les forces de l’ordre l’ont laissé, un soir d’émeutes étudiantes, par terre et le nez dans le ruisseau, cardiaque et sur le carreau, Il règne sur les esprits de nos dirigeants. A toute tentation répressive Il oppose un veto, à toute envie de changement, Il impose un statu quo. Voilà pourquoi, manifs après manifs, tu peux jouer au garnement, au gamin turbulent sans risquer de verser une seule goutte de sang, enfin de ton sang. N’oublie pas quand tu salis ces murs que d’autres nettoieront pour nourrir une famille, par des graffitis à la gloire du PCM (parti communiste maoïste), que tu ne vis ni sous Franco, ni sous Mao, ni sous Maduro, et que c’est parce que la démocratie est plus libérale que populaire, et la république bonne fille, que tu ne risques ni le camp, ni les champs, ni les saints sacrements. Connais-tu cette devise CRS ? Des bosses, pas des trous. Autrement dit, on tape, on ne tue pas. Elle est française, penses-y avant d’accuser la société et de la brutaliser, et remercie d’être né ici.
Prends garde au peuple
Si tu peux jouer à la guérilla urbaine comme dans tes jeux vidéo mais dans des décors réels payés par le travail des besogneux que tu méprises, toi qui dans ta version politisée dénonces l’idéologie du travail, toi qui prends chaque mois ton RSA, et subsistes grâce à cette mendicité institutionnelle, en tendant la main pour vivre aux crochets de ceux qui se retroussent les manches, c’est parce que nous autres couillons de payants le voulons bien, même si tu ne le vaux pas. Si tu ne crèves pas de faim dans la rue, c’est par la charité de ceux dont tu brises les vitrines, dont tu brûles les voitures et dont tu finis par casser les couilles. S’il t’arrivait de te laisser griser par tes discours, n’oublie jamais que tu n’es pas le peuple, tu n’es qu’une infime minorité, un groupuscule, une secte. Le peuple, c’est cette masse de gens au bureau, au champ, à l’atelier, à l’usine, au volant d’un camion ou d’un bus et j’en oublie, qui s’échangent le résultat de leurs travails. Ceux-là ne se paient pas de mots, et quand ils t’entendent, ils rigolent. Ils se paient ta fiole, jusqu’au moment où ils te voient casser l’outil ou le fruit de leur labeur, et là ils ne rigolent plus.
Karchër pays de ton enfance
Et voilà où je voulais en venir : prends garde, sois toi aussi mesuré, fais attention de ne pas aller trop loin et de ne pas épuiser la patience de tous ces braves gens contre qui tu pars en guerre avec le courage du cagoulé au milieu des foules. Retiens tes violences, espace-les, fais-toi un peu oublier car les pouvoirs de saint Malik pourraient un jour être épuisés, comme tous ceux qui te regardent, de te voir détruire ce qu’ils contribuent à construire. Las de te voir toujours recommencer à mettre à terre ce qu’elle relèven inlassablement, une France qui se lève tôt pourrait avoir envie de Kärcher, et pourrait mettre au pouvoir une équipe qui tienne ses promesses. Et alors gare à tes fesses car je ne pourrai plus rien pour toi, mon cher petit con.


mardi, avril 10, 2018

loi 1905

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006070169&dateTexte=20080306


du n'importe quoi

c'est intolérable 

https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/983427435923410947

en réponse a Macron 

En réponse à 
lisez ça et rafraîchissez vous la mémoire, avec vous eu un AVC !!! ou étiez vous sous amphétamines !!! faites vous un burn-out !!? ne touchez pas à la laïcité il ni aura pas que les cheminots dans la rue comptez les hâtés et le reste vive la laïcité


lundi, mars 12, 2018

Bibliographie/Biographie

Publié par cfayat le 20 Octobre, 2008 - 15:20
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Bernard Stiegler
Né le 01 04 1952
Marié, quatre enfants.








Bernard Stiegler, philosophe, docteur de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, est président de l’association Ars Industrialis, directeur de l'Institut de Recherche et d'Innovation du Centre Georges Pompidou, professeur à l'Université de Londres (Goldsmiths College), professeur associé à l'Université de Technologie de Compiègne et enseigne à l'école polytechnique de Zurich.
Il a été directeur de programme au Collège international de philosophie, directeur de l'unité de recherche Connaissances, Organisations et Systèmes Techniques de l’Université de Compiègne, qu'il y a fondée en 1993, directeur général adjoint de l'Institut National de l'Audiovisuel en 1996, directeur de l'IRCAM en 2001 et directeur du département du développement culturel du Centre Georges Pompidou en 2006.
Il est l'auteur de nombreux ouvrages :
La technique et le temps 1. La faute d'Epiméthée,Galilée 1994
La technique et le temps 2. La désorientation, Galilée 1996
La technique et le temps 3. Le temps du cinéma et la question du mal-être, 2001
Passer à l'acte, Galilée, mai 2003
Aimer, s'aimer, nous aimer. Du 11 septembre au 21 avril, Galilée, octobre 2003
De la misère symbolique 1. L'époque hyperindustrielle, Galilée, mars 2004
Mécréance et discrédit 1. La décadence des démocraties industrielles, Galilée, novembre 2004
Philosopher par accident, Galilée, avril 2004 recueil d'entretiens avec Elie During qui se présente comme une introduction à sa pensée.
De la misère symbolique 2. La catastrophè du sensible, Galilée, avril 2005
Constituer l'Europe 1. Dans un monde sans vergogne, Galilée, 2005
Constituer l'Europe 2. Le motif européen, Galilée, 2005
Mécréance et discrédit 2. Les sociétés incontrôlables d'individus désafectés, Galilée 2006
Mécréance et discrédit 3. L'esprit perdu du capitalisme, Galilée 2006
Des pieds et des mains, Bayard 2006
Réenchanter le monde - La valeur esprit contre le populisme industriel (avec Ars Industrialis), éd. Flammarion 2006
La télécratie contre la démocratie - Lettre ouverte aux représentants politiques, Flammarion 2006
De la démocratie participative (avec Marc Crépon), éd. Mille et une nuits 2007
Economie de l'hypermatériel et du psychopouvoiri - Entretiens avec Philippe Petit et Vincent Bontems, Mille et une Nuits 2008
Prendre soin - De la jeunesse et des générations, Flammarion 2008
Pour en finir avec la mécroissance - Quelques propositions d'Ars Industrialis, Christian Fauré, Bernard Stiegler, éd. Flammarion 2009
Pour une nouvelle critique de l'économie politique, éd. Galilée 2009.
Ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue. De la pharmacologie, éd. Flammarion, 2010
Etats de chocs, Ed. Fayard, 2012

Ouvrages traduits en anglais :
Technics and time, 1 - The Fault of Epimetheus, translated by Richard Beardsworth and George Collins, Stanford University Press, 1998
Technics and time, 2 - Disorientation, translated by Stefen Barker, Stanford University Press, 2008
Acting out, translated by David Barison, Daniel Ross, and Patrick Crogan, Stanford University Press, 2009,
Take Care, Translated by Stefen Barker, Stanford University, 2009/2010
Technics and time 3, translated by Stefen Barker, Stanford University Press, 2010
Mécréance et discrédit 1, 2 et 3, translated by Gerald Moore, Polity Press 2010
Pour une nouvelle critique de l'économie politique, Translated by Georges Collins, Polity Press 2010
De la misère symbolique 1 et 2, Polity Press

Curriculum vitae détaillé
- 2009
Directeur de l'Institut de Recherche et d'Innovation du Centre Georges Pompidou. Professeur associé à l'Université de Londres  (Goldsmiths College)  et  à l'Université de Technologie de Compiègne
• 2012
visiting professor à l’université de Cambridge

• 2006
Directeur du département de développement culturel au Centre Georges Pompidou.
• 2001
Directeur général de l'Ircam. Prise de fonction le 1er janvier 2002.
Traduction de La faute d'Epiméthée et de La désorientation en espagnol.
Traduction de Echographies de la télévision en anglais.
Traduction de La désorientation en anglais (Stanford University Press)
• 2000
Lancement du programme Territoires Numériques (concepteur et chef de projet) soutenu par le programme PRIAMM du ministère de l'Industrie et du ministère de la Culture (CNC), et le Conseil Régional de Picardie, partenaires : INA, France-Télécom, Esri France, UTC
Parution de La faute d'Epiméthée en Chine.
• 1999
Chargé de créer à l'université de Compiègne une formation d'ingénieur spécialisé dans le secteur des industries culturelles numériques.
Chargé d'étude par le secrétariat général du gouvernement sur le thème de l'aménagement du territoire dans le contexte numérique et dans le domaine culturel.
Démission de l'INA
• 1998
Membre de la commission " Evolution des missions de l'Etat devant les mutations technologiques des médias ", Commissariat Général au Plan.
• 1997
Membre et rapporteur des groupes de travail " Convergence " et " Réseau National de la Recherche en Télécommunications " de la Fédération des industries de l'électronique, l'électricité et la communication.
• 1996
Directeur général adjoint de l'INA, chef du département Innovation.
Publication de La technique et le temps, tome 2 , éditions Galilée .
Publication de la version anglaise de La technique et le temps, tome 1, par Stanford University Press.
Publication de Echographies de la télévision , avec Jacques Derrida, Editions Galilée
Publication du rapport " Les nouvelles frontières du développement régional " réalisé dans le cadre de l'initiative IRISI (Conseil Régional du Nord-Pas-de-Calais et Commission Européenne).
• 1995
Directeur (et fondateur) de l'unité de recherche COSTECH (Connaissances, Organisations et Systèmes Techniques) à l'Université de Technologie de Compiègne.
Chargé de mission par le Conseil régional du Nord-pas-de-Calais et la Commission Européenne pour la mise en oeuvre de l'action IRISI; rédaction du rapport " Les nouvelles frontières du développement régional " (publié en 1996 par la CE).
• 1994
Publication de La technique et le temps, tome 1 , Galilée.
• 1993
Chef de la division PHITECO, qui appartient à l'unité de recherche COSTECH et dont elle est l'embryon fondateur.
Chargé par Francis Denel d'animer les ateliers de recherche méthodologique de l'Inathèque de France. Conception de la station de lecture audiovisuelle de l'INA.
Visiting professor au Collège Interuniversitaire de Moscou et Saint-Pétersbourg pour trois ans.
• 1992
Soutenance de thèse devant l'Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales.
Lancement du programme OPEN (Outil personnalisable d'édition numérique, logiciel réalisé sur la base du logiciel 4D).
• 1990
Chargé d'écrire le scénario de l'exposition du Pavillon Français à l'Exposition Universelle de Séville.
• 1989
Chargé de constituer et présider un groupe de recherche auprès de la Bibliothèque Nationale de France pour la conception de Postes de Lecture Assistée par Ordinateur. Ce travail donnera lieu à de nombreuses publications, et à la réalisation d'un prototype industriel par la société AIS Berger-Levrault. Un changement de gouvernement et un changement de direction à la BNF en 1993 interrompront le projet.
Lancement du projet LECAO (lecture et écriture critiques assistées par ordinateur) avec le soutien du ministère de la Recherche.
Création et lancement du séminaire de sciences et technologies cognitives de Compiègne, qui se poursuit depuis chaque année au cours de la dernière semaine de janvier et qui aura reçu plus de mille doctorants et chercheurs français et étrangers.
• 1988
Enseignant chercheur à l'Université de Technologie de Compiègne.
Chargé de séminaire à l'école d'architecture de Marseille-Luminy, sur les instruments de CAO et l'image numérique.
• 1987
Concepteur et commissaire de l'exposition Mémoires du futur, Centre Georges Pompidou
• 1985
Chargé par le ministère de la recherche d'une étude sur les enjeux des technologies d'information et de communication.
• 1984
Elu pour six ans directeur de programme de recherche au Collège International de Philosophie.
• 1983
Consultant au cabinet TEN. Spécialisé dans les questions de développement technologique et urbain.
• 1978
Incarcération à la prison Saint-Michel de Toulouse. Etudes de philosophie à l'université de Toulouse le Mirail par correspondance.
• 1973
Stage d'analyste programmeur à l'IRIA (aujourd'hui dénommé INRIA).
• 1969
Etudes (inachevées) d'assistant réalisateur au conservatoire indépendant du cinéma français.

samedi, mars 10, 2018



Après Castle, Nathan Fillion revient dans la série policière The Rookie
Par Clément Cusseau (@ClayMancuso) — 27 oct. 2017 à 12:00
  


L'après "Castle" se précise pour Nathan Fillion, alors que sa nouvelle série policière "The Rookie" vient d'être officiellement commandée par ABC, en vue d'une diffusion l'année prochaine.

ABC Studios
Un peu plus d'un an après l'arrêt de CastleNathan Fillion s'apprête à faire son grand retour à la télévision. Après des apparitions dans Brooklyn Nine-NineSanta Clarita Diet et Modern Family, le comédien tiendra en effet le rôle principal de The Rookie, une série policière commandée par ABC sans même passer par la case pilote.

Tirée d'une histoire vraie, The Rookie est l'oeuvre d'Alexi Hawley, un ancien scénariste de Castle, et accessoirement le frère de Noah Hawley, créateur des séries Fargo et Legionsur FX. Elle suit le quotidien de John Nolan, un policier originaire d'une petite ville qui intègre le LAPD. Sur place, complètement déphasé par les méthodes de ses collègues, Nolan fait alors figure de "bleu" obligé de réapprendre toutes les bases de son métier.

2018 sera ainsi une année chargée pour Nathan Fillion avec le lancement de The Rookie sur ABC mais aussi avec sa participation à la seconde saison des désastreuses aventures des orphelins Baudelaire sur Netflix.